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Les impacts du réchauffement climatique sur la montagne

C’est presque « inéchappable ». Il ne se trouve aucun pays où l’on n’entend pas parler du réchauffement climatique. C’est devenu un problème mondial, car cela impacte non seulement sur nos activités, mais également sur nos ressources essentielles à la vie, dont l’eau. Il y a des zones qui sont plus vulnérables aux impacts du réchauffement climatique, comme la montagne. Voici ce que vous devez savoir.

Les impacts du réchauffement climatique sur les régions montagneuses

D’après les études des prévisionnistes, l’écart des températures entre les montagnes et les plaines va encore s’accentuer dans quelques années à cause de l’aggravation du réchauffement climatique. Ce que nous ne savons pas, c’est que c’est un grave problème. Ce fort changement climatique engendre plusieurs autres problèmes avec lui dont :

  • Un enneigement plus faible ;
  • Une fonte des neiges plus rapide ;
  • Un recul des glaciers ;
  • Et des altérations des espèces biologiques et de tout l’écosystème en général.

Mais ce n’est pas tout. Le réchauffement climatique sur la montagne cause également des pollutions sous toutes les formes. Comment cela ? Eh bien, premièrement, lorsque la température sur la montagne est trop élevée, cela favorise la destruction des reliefs et l’inondation. De ce fait, les métaux lourds vont se libérer plus facilement et plus rapidement surtout dans les zones humides. Et c’est ce qui va polluer la montagne entière qui va ensuite se déverser vers les plaines.

Deuxièmement, il y a aussi la pollution des plaines vers les montagnes. Ce sont surtout nos activités humaines (agriculture, tourisme, industrie) qui dégradent notre environnement. Or, lorsque les basses terres sont endommagées, elles transportent leurs polluants issus de ces activités vers les montagnes. Comment ? Juste par évaporation de l’air, les vents, et les précipitations, bref par le cycle naturel de l’eau. Ainsi, même l’eau de consommation est polluée, une pollution bien plus grave qu’une seule carafe filtrante ne peut gérer.

Et troisièmement, l’on ne peut aussi négliger la pollution des cours d’eau issue également du réchauffement climatique sur la montagne. L’activité de pêche en montagne est le moyen pour certaines espèces de poissons (destinés pour cette activité) d’infecter les eaux en montagne. Ils ne transportent pas seulement des nutriments polluants, mais également des taux très élevés de mercure dans les cours d’eau. Ce qui favorise la prolifération des algues.

En bref, le réchauffement climatique dans les régions montagneuses provoque plusieurs problèmes, dont le plus important est la dégradation des écosystèmes de l’eau.

Que faire alors pour protéger la montagne ?

Il y a certainement des solutions pour arrêter tout cela. Au-delà de la notion de développement durable, il devient plus que nécessaire de repenser à nos priorités. Cela commence par un changement en profondeur de nos habitudes quotidiennes, de la manière dont nous utilisons l’eau et traitons les écosystèmes. Cela nous prévient également du fort risque de pénurie hydrique.

Pour vous aider, vous pouvez adopter ces quelques conseils pour prévenir le réchauffement climatique :

  • Réduire votre mobilité pour limiter la pollution de l’air ;
  • Interdire l’utilisation de produits chimiques et de substances nocives ;
  • Et réduire votre consommation de viande pour moins d’émissions de gaz à effet de serre ;

Adopter un mode de consommation plus respectueux de l’environnement en favorisant le recyclage, la récupération de l’eau de pluie, l’adoption de gestes coresponsables, et l’installation d’un dispositif de traitement d’eau chez soi.

A ce propos, pour que votre consommation n’impacte pas sur l’environnement, vous pouvez tester la solution écologique zéro déchet plastique que sont les purificateurs d’eau LaVie. Développés par Solable, ces dispositifs sont essentiellement conçus pour traiter l’eau de votre robinet. En moins de 20 minutes, ils peuvent vous donner un litre d’eau plus pure et plus saine, une eau qui a su garder 100 % des oligoéléments préservés malgré l’absence de filtre.